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EL TARF LES DISPARUS DU CRASH D AVION ENTERRES DANS LA DOULEUR

C’est avant-hier jeudi qu’ont commencé les enterrements des victimes du crash d’avion Boufarik –Béchar.  Les enterrements se sont déroulés dans la consternation et l’émoi.  Il y a eu  en présence des autorités de la wilaya notamment le wali, les députés, les sénateurs, les maires, le président d’APW, les autorités civiles et militaires de la wilaya d’El  Tarf. Huit personnes ont péri dans ce crash qui a endeuillé non seulement les 257 familles perdu leurs progénitures mais aussi les quarante millions d’Algérie.  Dés l’annonce de la tragédie, plusieurs famille nous ont contactés dans l’espoir d’avoir des nouvelles de leurs enfants. Une fois la liste des victimes est devenue public, les algériens comme toujours ont commencé » à converger ver les domiciles des disparus pour présenter les condoléances, pour soutenir les nombreuses familles ayant perdu un des leur. La wilaya de Tarf qui comptait beaucoup de militaires dans les rangs de l’armée nationale a  enregistré le décès de  huit jeunes militaires dont certains viennent à peine de s’enrouler dans les rangs de l’armée.

Les huit sont de huit huit commune différentes notamment : les communes d’El Tarf, d’El Kala, d’Oum Teboul, de Ramel Souk, de Bougous et trois au sud Est du chef lieu de la wilaya «  Ain Kerma, Zitouna et Asfour. Dés l’annonce de la nouvelle du crash plusieurs familles nous ont sollicité si nous avions des nouvelles car leurs enfants sont partis le mardi pour regagner leur base dans le sud du pays.La première dépouille mortelle enterrée est celle de Hamoudi  R amdane  un jeune de la commune de Zitouna dont la famille habite Hammam Sidi Trad à quelques mètres de la frontière algéro Tunisienne. Par solidarité des voisins tunisien ont franchi la frontière  pour assister à la mise en berne du chahid Hamoudi ramdane. Tout le monde se souviendra pour longtemps les youyous des femmes à la sortie du domicile parental du chahid. Si ces femmes avaient eu le courage de sécher leurs larmes, les hommes qui portaient la dépouille mortelle  n’ont pu les retenir. Les mêmes scènes de douleur ont été vécues  au  niveau de toutes les  localités où a eu les enterrements des jeunes militaires disparus lors de cette tragédie

LA DEPECHE TARFINOISE

Tag(s) : #VIE DES CITES
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